Fini le temps du desespoir, Des amours jetees dans le noir. On s'est regardes sans rien dire. Qu'allions-nous devenir ? Le passe dans un phylactere Rien
Passer dans la rue Balader mes yeux, mon ame au hasard Petits pas perdus, Deambulent dans ma vie sans histoire... Mais qui me parle... D'ou vient ce regard
Pourquoi que tu vis ? Pourquoi que tu ris ? Si tu te caches dans l'air avant la pluie, Pourquoi que tu luis ? Pourquoi que t'ecris... Sur la sculpture
Dans ma petite boite a messages Tombent des flocons virtuels Des mots d'amitie qui voyagent Du bout du monde jusqu'a Bruxelles... {x2} Que tu sois un
Vous aimer Tranquille Vous detester a mort Je choisis Sur un fil A raison ou a tort Simple Et malhabile A la derive Entre vos iles... J'ai toute la vie
Quelque chose a change ici Comme si je revenais d'un autre pays Je n'retrouve plus rien a quoi je tiens A un manque d'appetit Quelque chose a change
C'est peut-etre une maison ou habite sans doute quelqu'un a moins que personne, personne rien de sur entre ces quatre murs rien de certain du sol jusqu
Me pencher un peu par le vasistas Pour voir les sales gosses qui jouent sur la place Et me regarder dans ma glace Pour me retrouver en face D'une petite
Jolis sapins de mes Noels, Mes nuits de neige a guetter le ciel, Vous etes loin, vous me manquez, Comme un pays, comme un amour, Je n'ai plus rien dans
Douce comme la mousse Egale et verticale Jamais ne s'emballe Ne s'eclabousse. Ses yeux : deux lacs ou je me noie Ces mots : des claques...une langue de
Y a des filles qui se marient, Qui disent "oui" pour la vie. Dix ans de passion passive... Et vouloir les iles ou rien n'est tranquille. Elles revent
Ils sont faits l'un pour l'autre Comme le ying pour le yang Comme le gout pour la langue L'un pour l'autre Ils sont faits l'un pour l'autre Comme le bleu
J'aime les dimanches quand il mouille Et qu'il me vient Des regrets anciens J'aime quand la pluie me debarbouille Je me souviens du temps ou tu m'aimais
Bien sur, nous eumes des orages Vingt ans d'amour, c'est l'amour fol Mille fois tu pris ton bagage Mille fois je pris mon envol Et chaque meuble se souvient
Il y a d'autres essences L'invisible est charge d'imprevisible D'une poussiere qui pense.... Les parfums du silence, Sont sensibles et subtils Tout est
Battements de c?ur ou tempos de nos pas Tous les diapasons ne nous donnent pas le meme LA Le silence est fertile De traces qu'il nous envoie Tant de chaleur
La musique adoucit La distance qui nous lie, Tes abscences et mes oublis. Difficile de s'aimer Dans l'irrealite, L'intervalle d'une pensee Nostalgique
Nous vivions autrefois dans la rue du Babouin Vous etiez la grace en personne Mais nos champs de bataille nous laissaient sur ma faim Pourquoi moi ? Que