l'amour Le ventre des flippers Et pour parler les boules d'acier Et les zeros du compteur T'etonnes pas si je suis Quelqu'un de l'interieur Ils voulaient
: Elle parle comme l'eau des fontaines Comme les matins sur la montagne Elle a les yeux presque aussi clairs Que les murs blancs du fond de l'Espagne
Edition Speciale En grandeur nature Ses yeux sur le mur Et puis apres je cherche Quelqu'un que je connais Qui soit encore debout Faut pas que je me leurre A l
lumiere du jour. Ils cachent tous quelque chose, Ils chassent tous quelque chose. Leila, si tu savais? Y'a ceux qui pleurent de joie En ajoutant une croix, Ceux qui l
: Laissez rever l'enfant qui dort Aux fumees bleues des chateaux-forts Laissez-lui demonter le ciel Dehors c'est toujours pareil Le coin des rues comme
plus de problemes Tout le monde m'aime Mais c'est pas pareil qu'avant... Parce qu'il y a le bout de ma canne Les feuilles des platanes Et c'est l'automne
: Les chevaliers Cathares Pleurent doucement, Au bord de l'autoroute Quand le soir descend, Comme une derniere insulte, Comme un dernier tourment, Au
doucement, Fermes les yeux, Dehors il pleut, un peu. Tu derives, captive Vers le soleil blanc d'un nouveau jour, Quelqu'un t'attend, Au bout de l'Ocean
gris que de rose Quand je suis parti, j'ai bien compris Que je perdais quelque chose Ses enfants qui font rien a l'ecole Et qui ont les poches pleines
: Je suis tout seul ce soir J'ai les bras colles au comptoir J'ai les pieds en bas dans la poussiere La tete la-haut dans le brouillard Dans tous les
Elle parle comme l'eau des fontaines Comme les matins sur la montagne Elle a les yeux presque aussi clairs Que les murs blancs du fond de l'Espagne
ai plus de problemes Tout le monde m'aime Mais c'est pas pareil qu'avant... Parce qu'il y a le bout de ma canne Les feuilles des platanes Et c'est l'
Je suis tout seul ce soir J'ai les bras colles au comptoir J'ai les pieds en bas dans la poussiere La tete la-haut dans le brouillard Dans tous les couloirs
Laissez rever l'enfant qui dort Aux fumees bleues des chateaux-forts Laissez-lui demonter le ciel Dehors c'est toujours pareil Le coin des rues comme