Dites-le-moi du bout des levres. Moi, je l'entends du bout du c?ur. Moins fort, calmez donc cette fievre. Oui, j'ecoute. Oh, dites-le-moi doucement.
, le temps de se revoir. Jamais les fleurs de Mai n'auront paru si belles. Les vignes de l'annee auront de beaux raisins. Quand tu me reviendras, avec les
Pour des regards d'amante, Pour des airs encanailles. Les matinees enfantines Ou l'on bousculait Chopin, Les reunions de cousines Autour d'un fuseau de lin, Les
, revasser A c'qu'on aurait voulu etre, etre, Mais c'est foutu, c'est classe. Ce n'est pas plus mal peut-etre, etre V'la la fin du jour, geule d'amour
'en aller, Car il faut savoir se quitter, Avant que ne meure le temps d'aimer, C'est parce que j'ai peur de voir s'endeuiller, Les minutes, les heures, les
jour de mon enterrement, Pour mes bons et loyaux services Le jour de mon enterrement. Les celles qui "Je l'ai bien connue.", Les pas belles, les cancanieres, Les
J'ai le souvenir d'une nuit, Une nuit de mon enfance Toute pareille a celle-ci, Une longue nuit de silence. Moi qui ne me souviens jamais Du passe qui
voila, oui te voila amoureuse {3x}, tellement amoureuse. C'est vrai, alors le gris du ciel n'est plus si gris, c'est vrai, alors le poids des jours n
Tu sais, si ce n'etait pas toi, Si ce n'etait pas toi Au bout de ce voyage, Tu sais, si ce n'etait pas toi, Referais-je les pas, Aurais-je le courage
Vous savez, aujourd'hui, que de l'avoir perdu, C'est lourd a supporter, Madame. Vous demandez pardon de n'avoir pas compris Ce qu'etait notre amour, Madame. Vous n
longtemps Oui Mais soudain, voila que ton train demarre Nous n'avons pas eu le temps de nous dire Au revoir Nous etions bien ensemble Au revoir Les
se souviennent, De cet air a trois temps, De ce tout petit zinzin, Sacre petit zinzin, Drole de petit zinzin, Charmant petit zinzin, de rien, De rien du
naufrage, Au printemps, tu verras, je serai de retour, Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour, Nous irons voir ensemble les jardins refleuris, Et deambulerons dans les
revois l'usine. Oui, l'usine Se dessine. Surgit Du livre d'images Un ciel gris d'acier, Une angoisse Et des pas lourds Qui se trainent Et les ombres Qui
reve dans Vienne Sur trois temps de valse lointaine. Il semble que les ombres Tournent et se confondent. Qu'ils etaient beaux les soirs de Vienne. Ta lettre a du
est beau : regarde le jour paraitre. A chaque jour recommence, A se vouloir, a se garder, A se perdre, a se dechirer, A se battre, a se crucifier. Passent les vents et les