Teksty: Gilbert Bécaud. Le Ciel.
Le ciel, le ciel
C'est comme un grand manteau bleu
Accroche sur les epaules de la nuit
Mais comme il n'est pas tout neuf
Il y a plein de trous dedans
On voit filtrer des lumieres
Venues d'un autre univers
Tu vois bien qu'il y a derriere
Comme un grand rayon tout blanc
Sur ceux-la qui se promenent
Au pays des morts vivants
Le ciel, le ciel
Apres les larmes et le sang
Tu te gagnes une autre chance dans ton ciel
Toi qui as perdu ta mere
Tu peux boire a son sein blanc
Toi que l'on a laissee vierge
Enfin ton ventre est content
Les savants qui faisaient rire
On leur tire le chapeau
Et les batisseurs d'empires
Ont conquis l'Eldorado
Le ciel, le ciel
Ils sont la-haut des milliards
Qui continuent le voyage tout la-haut
Ils sont la les capitaines
Torpilles pavillon haut
Et les revolutionnaires
Oublies dans leur cachot
Les rois gagnent des batailles
Ou il n'y a plus de morts
Et quand les Dieux se chamaillent
Ca fait des orages d'or
Le ciel, le ciel, le ciel
Vous verriez les soirs de bal
C'est le chateau de Versailles en plus grand
Les extra-terrestres dansent
Legers pour l'eternite
Au son d'un orchestre immense
Ou m'attend mon tabouret
Les hommes des quatre couleurs
Et des mille religions
Puisqu'ils ne sont pas ailleurs
Bien sur que c'est la qu'ils sont
Le ciel, le ciel
(Merci a Danielle pour cettes paroles)
C'est comme un grand manteau bleu
Accroche sur les epaules de la nuit
Mais comme il n'est pas tout neuf
Il y a plein de trous dedans
On voit filtrer des lumieres
Venues d'un autre univers
Tu vois bien qu'il y a derriere
Comme un grand rayon tout blanc
Sur ceux-la qui se promenent
Au pays des morts vivants
Le ciel, le ciel
Apres les larmes et le sang
Tu te gagnes une autre chance dans ton ciel
Toi qui as perdu ta mere
Tu peux boire a son sein blanc
Toi que l'on a laissee vierge
Enfin ton ventre est content
Les savants qui faisaient rire
On leur tire le chapeau
Et les batisseurs d'empires
Ont conquis l'Eldorado
Le ciel, le ciel
Ils sont la-haut des milliards
Qui continuent le voyage tout la-haut
Ils sont la les capitaines
Torpilles pavillon haut
Et les revolutionnaires
Oublies dans leur cachot
Les rois gagnent des batailles
Ou il n'y a plus de morts
Et quand les Dieux se chamaillent
Ca fait des orages d'or
Le ciel, le ciel, le ciel
Vous verriez les soirs de bal
C'est le chateau de Versailles en plus grand
Les extra-terrestres dansent
Legers pour l'eternite
Au son d'un orchestre immense
Ou m'attend mon tabouret
Les hommes des quatre couleurs
Et des mille religions
Puisqu'ils ne sont pas ailleurs
Bien sur que c'est la qu'ils sont
Le ciel, le ciel
(Merci a Danielle pour cettes paroles)
Gilbert Bécaud
Gilbert Bécaud
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