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Teksty: Francis Cabrel. La Corrida.

Depuis le temps que je patiente dans cette chambre noire
J'entend qu'on s'amuse et qu'on chante au bout du couloir
Quelqu'un a touche le verrou
Et j'ai plonge vers le grand jour
J'ai vu les fanfares, les barrieres
Et les gens autour
Dans les premiers moments
J'ai cru qu'il fallait seuleument se defendre
mais cette plate est sans issu
je commence a comprendre
Il ont refermes derriere moi
Ils ont peur que je recule
Je vais bien finir par l'avoir, cette danseuse ridicule
Est-ce que ce monde est serieux ?
Andalousie, je me souviens des prairies
bordes de cactus
Je vais pas trembler devant ce pantin, ce minus
Je vais l'attraper lui et son chapeau
les faire tourner comme un soleil
Ce soir, la femme du torero dormira
sur ces deux oreilles
Est-ce que ce monde est serieux ?
J'en ai poursuivi des fantomes
Presque touches leur ballerines
Ils ont frappes fort dans mon coup
pour que je m'incline

Ils sortent d'ou ces acrobates ?
Avec leurs costumes de papier?
J'ai jamais appris a me battre
contre des poupees
Sentir le sable, sous ma tete
c'est fou comme ca peut faire du bien
j'ai prie pour que tout arrete Andalousie
je me souviens
Je les entends rire comme je rale
Je les vois danser comme je succombe
Je ne pensais pas qu'on puisse autant s'amuser
Autour d'une tombe
Si, si, hombre hombre
baila baila
hay que bailar de nuevo
y mataremos otros
otras vidas y otros toros
y mataremos otros
venga venga baila
y matare los otros
lelelelei leleleleiii
aiiiiiiii aiiiiiiiii
leleleleleiiii