Teksty: Bertrand Betsch. Parce Qu'il.
Il n'a pas sonne,
Il n'a pas frappe,
Il n'a rien demande.
Juste il est entre.
Il a jete son bouquet de fleurs sur la table de la salle a manger.
Puis il a depose son regard dans le sien, et il a dit :
"tiens, prends tout, je n'garde rien.
On est toujours trop charge, un rien vous encombre.. un rien.
On est toujours trop, ou pas assez".
Il a dit tout ca d'un air detache, comme on dit des banalites.
Puis il a souri, a sa maniere, a sa maniere.. c'est un garcon poli.
Alors il a tourne les talons,
Alors il a ouvert la porte,
Alors il est sorti..
Aveugle, aveugle et sourd.
C'etait un jeudi, un d'ces petits jeudis noirs,
Qu'on traverse en boitant,
Qu'on traverse et qu'on oublie.
Parce qu'il faut bien, parce qu'il faut.. Parce qu'il..
(Merci a riendutout pour cettes paroles)
Il n'a pas frappe,
Il n'a rien demande.
Juste il est entre.
Il a jete son bouquet de fleurs sur la table de la salle a manger.
Puis il a depose son regard dans le sien, et il a dit :
"tiens, prends tout, je n'garde rien.
On est toujours trop charge, un rien vous encombre.. un rien.
On est toujours trop, ou pas assez".
Il a dit tout ca d'un air detache, comme on dit des banalites.
Puis il a souri, a sa maniere, a sa maniere.. c'est un garcon poli.
Alors il a tourne les talons,
Alors il a ouvert la porte,
Alors il est sorti..
Aveugle, aveugle et sourd.
C'etait un jeudi, un d'ces petits jeudis noirs,
Qu'on traverse en boitant,
Qu'on traverse et qu'on oublie.
Parce qu'il faut bien, parce qu'il faut.. Parce qu'il..
(Merci a riendutout pour cettes paroles)
Bertrand Betsch
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