Teksty: BB Brunes. Confusions Printanières.
Ne pourrait on pas ecrire une lois contre les gens
Qui n'en peuvent plus de sourrir contre le sens du vent
Ne pourrait on pas vomir un peu plus decemment
Sur le coeur inaudible des adolescents
Je n'en peux plus de vivre notre aneantissement
Trop blase des histoires qui ne sonnent jamais vraiment
Je m'en fou mais je me casse
Si tu pleures c'est marrant
Le bonheur sans histoire ca me parait tres chiant
On aimait s'etaler
Cracher contre le vent
Depouillies, depouillies furent toutes ses dents
Ton amour s'effondrait
Le vent ne m'en voudra pas
D'effacer, d'effacer ce qu'il reste de toi
Mais a force d'y croire
On finirait par vraiment
S'oublier, s'oublier un peu plus calmement
Bien trop comme livre
Mais dedans tes soupirs
Je bois trop, je m'abstient
Mais ne veut pas partir
Ton sourrir, ton sourrir
Mais qui de nous deux prend ca ?
je te quitte pour un monde pour mieux pleurer sans ta voix
Je prefere m'isoler
Car au moins moi je pense
Notions de liberte illustrent nos condoleances
On aimait s'etaler
Cracher contre le vent
Cruaute, cruaute me chante calmement
Mon amour s'effondrait
Le vent ne m'en voudra pas
D'effacer, d'effacer ce qu'ils ravivent parfois
Je n'entends plus vraiment
Cries encore et encore
Mon coeur pleurnichant
Quelques ordures, quelques meandres
Quelques ordures, quelques meandre
Excusons nous les guerres
Celles qui ne pardonnent pas
Esquissons nous les fievres de ma megalomania
Ecorchons nous les coeurs
Sans attendre le grand froid
Les remords, la douleurs ne seront plus de nos lois
Mais toi, t'as l'air si fiere
De crever au combat
Mais toi, t'as l'air si fiere
Mais toi, t'as pas l'air comme ca
(Merci a Marion pour cettes paroles)
Qui n'en peuvent plus de sourrir contre le sens du vent
Ne pourrait on pas vomir un peu plus decemment
Sur le coeur inaudible des adolescents
Je n'en peux plus de vivre notre aneantissement
Trop blase des histoires qui ne sonnent jamais vraiment
Je m'en fou mais je me casse
Si tu pleures c'est marrant
Le bonheur sans histoire ca me parait tres chiant
On aimait s'etaler
Cracher contre le vent
Depouillies, depouillies furent toutes ses dents
Ton amour s'effondrait
Le vent ne m'en voudra pas
D'effacer, d'effacer ce qu'il reste de toi
Mais a force d'y croire
On finirait par vraiment
S'oublier, s'oublier un peu plus calmement
Bien trop comme livre
Mais dedans tes soupirs
Je bois trop, je m'abstient
Mais ne veut pas partir
Ton sourrir, ton sourrir
Mais qui de nous deux prend ca ?
je te quitte pour un monde pour mieux pleurer sans ta voix
Je prefere m'isoler
Car au moins moi je pense
Notions de liberte illustrent nos condoleances
On aimait s'etaler
Cracher contre le vent
Cruaute, cruaute me chante calmement
Mon amour s'effondrait
Le vent ne m'en voudra pas
D'effacer, d'effacer ce qu'ils ravivent parfois
Je n'entends plus vraiment
Cries encore et encore
Mon coeur pleurnichant
Quelques ordures, quelques meandres
Quelques ordures, quelques meandre
Excusons nous les guerres
Celles qui ne pardonnent pas
Esquissons nous les fievres de ma megalomania
Ecorchons nous les coeurs
Sans attendre le grand froid
Les remords, la douleurs ne seront plus de nos lois
Mais toi, t'as l'air si fiere
De crever au combat
Mais toi, t'as l'air si fiere
Mais toi, t'as pas l'air comme ca
(Merci a Marion pour cettes paroles)
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